Ecuyer anglais des rois Jacques I, Charles I et Charles II, s'exila à Paris, Hambourg puis Anvers.
Il passa pour le plus grand homme de cheval de son temps (1590-1676).
Il fonde une académie à Anvers, et y reste pendant 18 ans.
Il publie en français en 1657 :
Il veut que les aides soient plus délicates et affirme :
Selon le duc de Newcastle, le cavalier doit avoir 2 parties mobiles et une immobile.
Il est inspecteur général des Haras, et travaille l'art équestre sous la direction de Pierre Vernet du Plessis.
A écrit :
Il fut écuyer en chef des services du Roi jusqu'en 1793.
Le Général L'Hotte disait de lui qu'il ne cessait de répéter :"assis".
Un des principaux objectifs de l'Ecole de Versailles était la régularité de la position.
Il eut comme élève le Comte d'Aure.
Pendant 30 ans, il enseigne aux officiers de la garde et à la noblesse.
Il vécut à Saumur et dirigea le Haras du Marquis De Villette.
En 1836 paraît :
En 1842 paraît :
Son principe majeur :
En 1801, il s'engage dans les chasseurs à cheval.
De 1802 à 1804, il suit les cours de l'école d'instruction des troupes à cheval à Versailles.
En 1814, il fut nommé sous-écuyer à Saumur où il enseigna 35 années.
Il n'a laissé aucun ouvrage sur l'équitation, mais le général L'Hotte a publié des notes manuscrites de Rousselet dans le livre de souvenirs qu'il lui a consacré :
Né à Bayonne en 1811 - 1889
C'est un bauchériste convaincu. En 1842, il fut détaché à Saumur et, en 1943, peu apprécié par son caractère et ses réparties mordantes, il réintègre les Lanciers.
En 1844 il publie :
En 1847 :
paru à Metz.
Quelques ouvrages critiques, qui ne furent guère appréciés :
Il naquit et mourut à Lunéville (Meurthe/54) en Lorraine.
En 1842, il est 1er de Saint-Cyr et sort en 1945.
Il est élève de M. Rousselet à Saumur et du Comte d'Aure qui le considère comme son meilleur élève.
A Lyon, il fait la connaissance de Baucher qui devient son Maître.
Impartialement, il relate les péripéties des deux méthodes dans ses souvenirs :
Son principe : En avant, calme et droit.
Le général L'Hotte vénérait le comte d'Aure, mais ne l'empêchait pas d'aimer également Baucher.
Né à Londres en 1834 - 1913
Il se rend à Paris où il monte sous la direction de Franconi, au Cirque des Champs-Elysées.
Il devint également écuyer en chef pendant une dizaine d'années à la Cour de Russie en 1898.
Peu élégant à cheval, brutal parfois, mais d'une extrême habileté pour pratiquer des airs de fantaisie.
Il ne partage pas les opinions de Baucher.
En 1892, il publia :
Dans le premier ouvrage, il considère le rassembler comme le fin du fin.
En 1910, il revient en France où il mourut.
Elève de Baucher.
De 1867 à 1870, il fut charger du dressage des chevaux de Napoléon III.
En 1891, il publia :
C'était un élève du général Faverot de Kerbrech et ses paroles sont :
Il publia plusieurs ouvrages sur le dressage :
Pour lui, toutes les méthodes tendent vers le même but : la légéreté.
Voici ce que disait le capitaine Beudant sur le dressage :
Très jeune, il a été imprégné des principes de Baucher.
Il a un gout pour l'équitation "savante".
Très bon instructeur et écrivain.
Ses principaux ouvrages :
En 1904, il fut lieutenant d'instruction et succède en 1919 au commandant Dettroyat comme directeur de la célèbre école de Saumur.
A la fin de la guerre, il réorganise Saumur.
En 1919, il fut chargé de reconstituer le Cadre Noir et sous sa direction, le cadre Noir joue au polo et même en courses.
Dès 1920, la reprise des écuyers et des sauteurs en liberté se produit à Paris, Bruxelle, Londres, Genève et Berlin.
En 1922, il créa le Centre de préparation aux Epreuves Internationales qui permit à la France de briller grâce à ses équipes militaires.
Né à Lisbonne en 1925
Considéré comme le grand maître du dressage actuel. Après avoir dirigé un manège à Lisbonne, il créa sa propre école : Quinto do Chafariz à povoa de Santo Adriao.
En 1965, les éditions Crépin-Leblond publient en français un ouvrage :
Les qualités essentielles pour Nuno oliveira : tact et sensibilité.